« Un coup de dés jamais n’abolira le hasard » (Mallarmé).
Dans le film de Krysztof Kieslowski (1981), un jeune homme prend - ou rate - son train. En quoi cet événement, semble-t-il fortuit, peut-il être à l’origine de trois existences possibles, comme si la suite de la vie de ce jeune homme résultait d’une variation infime dans le cours des choses ?
« Le nez de Cléopâtre : s’il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé » (Pascal).